Il était un soir

Mise en scène : Lola Naymark
Texte : Pauline Delabroy-Allard
Sculptures de sable : Sarah Feuillas
Dramaturgie : Agathe Peyrard
Scénographie : Benjamin Lebreton
Création sonore : Gilles Gauvain
Création lumière : Mathilde Chamoux
Costumes : Aude Desigaux


Avec Lola Naymark et Sarah Feuillas

Spectacle en salle
Jauge envisagée : 120 personnes (adultes et enfants) / 4 classes

Coproduction : Le Bateau Feu -Scène nationale de Dunkerque, Le Vivat - Scène conventionnée d’Armentières, Le Grand Bleu, Scène conventionnée d’intérêt national – Arts, enfance, jeunesse
Soutien à la résidence : Le Bercail - Dunkerque, L’Orange Bleue - espace culturel d’Eaubonne, Le Vivat - Scène conventionnée d’Armentières.
Tournée 2026 : Le Bateau Feu -Scène nationale de Dunkerque, Le Vivat - Scène conventionnée d’Armentières, Le Grand Bleu, Scène conventionnée d’intérêt national – Arts, enfance, jeunesse, Le Safran - Scène, conventionnée d’Amiens Métropole, La Faïencerie, Scène conventionnée de Créil (Festival P’tites Tommettes), L’Orange Bleue - espace culturel d’Eaubonne, Théâtre Dunois
(en cours)

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Spectacle en sable à partir de 3 ans – Création en  janvier 2026

Nul ne peut atteindre l’aube sinon par le sentier de la nuit, c’est le seul chemin pour arriver au matin. Khalil Gibran

premiers tests de scénographie, Fructôse
               Premiers tests de scénographie, Fructôse

Il était un soir sera une plongée dans l’aventure du soir, de ses espoirs, de ses tourments, des rituels, des peurs, des mystères qui adviennent quand le marchand de sable est passé, mais que les yeux refusent de se fermer. Un spectacle en sable pour s’emparer de ce moment si particulier, redouté par beaucoup d’enfants et de parents, et cherche ensemble le chemin vers le lendemain.

C’est toujours comme ça.

La journée, ça va.
Mais quand la nuit se met à tomber…
Non, quand maman dit qu’il faut aller à la douche.
Ou non, plutôt quand on va se brosser les dents.
Ah, en fait, je ne sais pas.

Je ne sais pas quand ça commence.

Mais d’un coup !
D’un coup c’est comme une immense montagne devant mes yeux.
Une montagne qui cache la lumière.
Une montagne qui cache tous les souvenirs de la journée, les bons comme les mauvais.

Et dans ma tête, d’un coup, d’un coup d’un seul, il y a toutes les questions.

Pourquoi demain ça s’appelle demain. Pourquoi pas troimain. Ou quatremain.
Pourquoi il faut dormir pour atteindre demain.
Pourquoi on ne peut pas y aller sans dormir, à demain.
Et si on ne dort pas du tout, est-ce que demain, ça sera demain ?
Pourquoi aujourd’hui, c’est fini ?
Pourquoi aujourd’hui, c’est pas toute la vie ?

Extrait du texte en cours d’écriture.